Merci pour le lien, tres clair.
Donc si le japonais est paye une misere, l'etranger a le droit d'etre paye la meme misere, pas moins (et reciproquement). Reste a savoir comment l'immigration estime si le contenu du boulot correspond a l'intitule du visa. Peut-etre ne considere-t'elle vraiment que le contenu technique/specifique a un visa, et pas a combien la maitrise de ces techniques et connaissances est en fait echangee (ce serait une attitude fort louable).