Toujours pas Omote.
Un indice pour faciliter vos recherches: wado ryu.
Toujours pas Omote.
Un indice pour faciliter vos recherches: wado ryu.
Salut a tous.
Heuuu ... Mitsusuke Harada ?
A+ Omote
Tout le monde peut participer, il n'y a pas de mauvaises reponses car qui dit reponse dit recherche, donc accumulation de savoir.
Pas du tout Omote san. Il ne s'agit pas de la même Ecole.
Les paroles prononcées avaient quelque peu choqué à l'époque de leur première parution dans le magazine américain "Black belt". Encore un indice donc.
ça m'a tout l'air d'être un proche disciple d'Ohtsuka...
tatsuo suzuki ?
C'est ça! Bravo Capray.
Il s'agit bien de Suzuki Tatsuo sensei. Cet enseignant a développé son Ecole en Angleterre depuis plusieurs décennies. Sur le plan de la compétiton, l'équipe nationale, dirigée par Ticky Donovan dans les années 80, lui doit beaucoup; notamment l'ancien champion Geoff Thompson. Plutôt discret, ce sensei s'est souvent plaint du peu de dureté des entraînements dû, selon lui, au manque de volonté des pratiquants. Il a toujours prôné un karate "viril" et reste un spécialiste de la self defense plus que de la compétition.
Moins connu que son disciple Shiomitsu Masafumi sensei, par exemple, il est considéré comme une référence du karate en Grand Bretagne.
Les Etats Unis lui ont fait les honneurs de la presse par le biais d'un article dans l'incontournable "Black belt". Les paroles faisant l'objet de l'énigme avaient été mal ressenties par certains car le sensei ne mâchaient pas ses mots et parlait de paresse et peur de se faire mal.
CapRay gagne donc...ma considération!
et je l'accepte avec modestie
ouuuussssss
à propos de la phrase de Suzuki sensei c'est amusant ce genre de propos mais c'est assez significatif d'un certain esprit martial. Esprit forgé chez lui à une époque où le karaté était différent de celui d'aujourd'hui.
J'avais lu il y a longtemps une interview de G. Tramontini, ancien champion français qui relatait ses débuts en karaté en disant, que si on pratiquait le karaté aujourd'hui comme il l'avait connu à ses débuts, les clubs crouleraient sous les plaintes pour brutalité.
Très symptômatique en effet. Je me permets d'ajouter que si on s'entraînait, en France (ou ailleurs), comme on le fait certains jours au dojo dont je suis membre à Osaka, il ne resterait qu'un poignée d'élèves au bout d'un mois.
C'est une autre conception du karate.
Pour conclure, je crois utile de rappeler qu'aucune Ecole n'a l'apanage du travail de forcené durant les cours. sundome ou jissen, tout dépend des sensei, senpai et kohai; de ce que l'on y met en fait.
Pour illustrer mon propos, je n'ai guère été impressionné par ce que j'ai vu au honbu dojo de mon Ecole à New York. Et pourtant les tenants de la kyokushinkai (ou groupes dissidents) jouissent d'une réputation généralement vérifiée en matière de dureté au dojo. Comme quoi...
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