Bravo à zev pour cette bonne réponse et merci aux participants.

Afin d'être plus complet sur cette interdiction, voici une précision.
La version donnée au peuple japonais était que des espions pouvaient lire le bulletin météorologique dans le journal et faire lancer des opérations de bombardement en cas de temps dégagé. Bien entendu, il aurait suffi de lever le nez pour connaître l'état du ciel mais ceux qui trouvaient cette explication saugrenue avaient affaire à la police politique, la sinistre Kenpeitai ("police de la pensée").