Tout a fait mais pour replacer dans le contexte contemporaine ou presque.
Sinon, le probleme principal du Japon concernant les "relations humaines", ce ne sont pas les homsexuels dont le sort comme toute autre minorite peut-etre ameliore, mais les heterosexuels qui ne font plus d'enfants, ne se marrient plus etc.
Il me semble que Mio Sugita joue la-dessus --- et aussi que de se placer en face du politiquement correct est dans l'air du temps.
Si tu veux dire que les homosexuels se "cachent", ne font pas leur coming-out comme en France peut-etre, c'est vrai. Je ne suis pas sur que ce soit pour se proteger de la discrimination envers les homosexuels, mais plus generalement pour mieux se fondre dans le groupe etc. ce qui est important au Japon. On est aussi plus discret, qu'il n'y ait pas de gay-pride est a relier a ce trait a mon avis.mais pour prendre un exemple concret qui me semble révélateur, il y a tout de même peu de personnes visibles (ceux qui me viennent en tête sont le député cité dans l'article de Messmer, ainsi que Kazuyo Katsuma) au sommet de la société pour prouver que les personnes LGBT contribuent comme n'importe qui à la société.
Historiquement, le Japon Boudhiste Shintoiste a des moeurs de ce point vue bien plus flexibles qu'un pays faconne par le christianisme.Guzabie, est-ce que tu dirais qu'il n'y a pas de discrimination particulière concernant les homosexuels au Japon (par rapport à la France notamment)?
De nos jours, j'en sais rien. Pas de discrimation haineuse au quotidien, mais au sein l'entreprise, des familles, je n'en sais rien.
Apres, j'ai rencontre des homosexuels, des transgenres, ils avaient pas l'air malheureux.
oui et si on es reste au 生産性, et on peut meme aller plus loin: les personnes handicapees, malades, les personnes agees, les etrangers en situation precaire etc. C'est sur on est pas oblige d'apprecier sa facon de parler!Si on pousse son raisonnement, les célibataires ou couples sans enfants ne méritent pas d'aide de l'état.