Skydiver-san, je suis profondément désolé, mais tu avouera qu’on touche ici à une autre dimension.
Concernant Otsuka Hironori sensei :
1) L'oncle de sa mère, Chojiro Ebashi, est descendant de samouraï. Il étudiera effectivement la Shindo Yoshin Ryu Ju-Jutsu et Ken.
2) En 1921, il devient 4ème grand Maître de l'école Shindo Yoshin Ryu Ju-Jutsu et successeur de Maître Tatsusaburo Nakayama. Il posséde en plus un dipôme de médecine traditionnelle, il quitte la banque pour se consacrer au Budo.
3) Ensuite, en 1922 il commence l’étude de la Shotokan.
Concernant Oyama Masutatsu sôsai :
1) « techniques coréennes » normal, sous la direction de Mr. Yi, un employé du domaine familial. Tout le monde n’a pas un expert sous la main.
2) Mais A 14 ans, son père l'envoie au Japon, dans une école militaire de Yamanashi. Difficile pour lui de resté avec des techniques coréennes dans ces conditions !
3) Il suit l'enseignement des plus grands, parmi lesquels Funakoshi Gichin. Nidan en deux ans !! Est-ce courant ?
4) A 20 ans, il passe avec succès son 4e dan de karaté.
5) Sur les conseils de So Nei Chu, expert de Goju-ryu, il s'exile pour méditer 3 ans dans les monts Kiyosumi, Isolés du reste du monde, ils ont pour seul contact M. Kayama, qui les ravitaille régulièrement …..
Tu peux te permettre ça toi. Je ne connais pas grand monde aujourd’hui qui pourrait.
Tu sera d’accord avec moi pour dire qu’il faut être de mauvaise foi pour affirmer que ces 2 exemples (parmi d’autres) sont communs aux millions de pratiquant d’arts martiaux ?
Il s’agit d’exception quant au génie et aux conditions personnelles et familiales particulièrement favorables.
Ah Je savais qu'on allait me sortir Minoru Mochizuki sensei.
Encore un exemple de pratique ... courante.
"l'avocat du diable" après le sectarisme, si je ne me trompe pas, c'est une manière de plus en plus courante de discréditer d'emblée le discours.
Quant à mon parcours martial, il est déjà connu sur ce forum.
rhetoriques / joutes verbales ? : Non, simple discussion. Mais qu'est-ce qu'une discussion, quelles en sont les outils si ce ne sont les "MOTS".
Ou alors, y a-t-il obligation de consensus avec la majorité ?
C'est bien la peine de venir sur un forum si on ne peut pas discuter