arigato gozaimasu
arigato gozaimasu
Cordialement,
Ryushi Zenshiro
Shiru mono wa iwazu, iu mono wa shirazu
Ja ne
Bonjour
Merci de votre réponse
je penses que c'est un remerciement , je ne connais ni et ni ne pratique le japonais.
cordialement
sumi masen (veuillez me pardonner)
Domo arigato gozaimasu, étaient effectivement des remerciements.
Konnichi wa mina san / Bonjour à tous,
AuFilDeLaLame, je pense que vous participerez au SICAC prochain, ce sera une occasion de faire connaissance et de voir de vizu quelques unes de vos créations.
Dans cette attente, bon courage, que les Kami de l'acier soit avec vous
Salut à tous,
Première un mise au point pour RyuShi. Je commence à en avoir sévèrement plein le dos de me voir attribuer de ta part des propos ou des intentions que ne n'ai pas tenu.
Dans mon post sur "Au fil de la lame", je n'ai aucunement "attaqué" cette maison, ni ceux qui y travaillent, pour la bonne et simple raison que chacun fait ce qu'il veut. J'ai simplement remis les pendules à l'heure, en disant que les produits sont similaires à ceux de Paul Chen ou de DepDep, soit du XC75 forgé en maru. Que ces produits ne sauraient être comparés aux fabrications de D. Bargiel ou de G. Vanuuyis, car ces deux forgerons font du composite, ce qui est totalement différent du maru.
RyuShi, si tu as un problème relationnel ou intentionnel, je te conseille vivement de quitter la secte dans laquelle tu t'es embrigadé.
Secundo, pour "Au fil de la lame", je n'ai jamais dit qu'il fallait absolument posséder un sabre ultra-cher voire même du composite pour pratiquer. Je pratique la coupe avec des Paul Chen, qui suffisent amplement. C'aurait pu être avec un produit de "Au fil de la lame", si l'occasion d'en acheter un s'était présentée.
L'article que j'ai cité, avec la photo de la forge au fond du garage, ne se veut ni péjoratif, ni "attaquant", c'est la simple relation objective de ce que j'ai lu dans le magazine "Dragon". Tant mieux si les choses ont évolué depuis.
Quant à "trancher mon ego", je peux retourner la formule, car autant D. Bargiel, G. Vanuuyis, P. Rihacek, etc. peuvent être fiers de leur travail, vu le talent qu'il demande ; en revanche, je ne vois aucune fierté à forger du maru dans du XC75. Ceci est la base même de la forge, ça ne demande pas des années d'apprentissage et de pratique, tout étudiant forgeron commence par cela.
Néanmoins, je maintiens que le maru en acier industriel n'a pas la qualité du composite, et cela tout forgeron pourra le dire, sinon pourquoi les Japonais se seraient embêter à faire du shihozume ? Inutile d'essayer de me convaincre, même en m'envoyant des dépliants publicitaires par internet. Mon ego (pléonasme) ne recherche pas des "produits", mais des oeuvres d'art.
A bon entendeur salut.
:lol:
Une conception aussi complexe que celle de l'autentique nippon-to ne peut pas se résumer aussi facilement. Il faut lire quantité d'ouvrages, dont peu éxistent en français et étudier beaucoup de lames pour apprendre à les évaluer.
la forge d'une lame n'est jamais simple, même quand il s'agit d'en faire une à partir d'acier industriel. Certes aucune lame industrielle ne rivalisera jamais avec une vraie lame. Toutefois l'amateur inexpérimenté pourra être facilement trompé sur une lame qu'on lui propose. Si la technique si chère à Okami est réellement ultime dans les meilleurs résultats qu'elle permet d'obtenir, elle n'est pas aussi constante que les réalisations industrielles et génère à coté de ça un certain nombre de lames autentiques mais sans aucune valeur (ou plutot dévaloriseé par des défauts). certains défauts en particulier sont très difficiles à percevoir mais complètement rédibitoires pour une lame. Cela sans parler des lames falcifiées (fausse signature), réparée ou 'suriage'.
A mon avis pour une pratique de type 'scolaire' (exercices d'étude et perfectionnement) les lames de type industriel (paul chen - last legend - bugei - etc) sont tout indiquées. Sans compter qu'une coupe mal maitrisée peut avoir pour résultat des dommages irréversibles pour une lame.
les vraies lames ne devrait jamais se trouver dans les mains d'étudiants de 'la voie' lors d'entrainements.
Entièrement d'accord.
Sans parler des lames anciennes, un forgeron digne de ce nom ne vendra jamais une lame avec des défauts. Par exemple, Guy jette la moitié de ses lames en composite, car elles ont des défauts de trempe (même si quasi invisible). Il parait évident que se servir de lames de qualité pour la coupe est un crime de lèse-sabre. Ce sont des pièces de collection, non pas faites pour servir.
Mais il faut méanmoins ouvrir les yeux des débutants, auxquels on fait souvent prendre des vessies pour des lanternes, du style le haut de gamme de Paul Chen que ce dernier veut faire croire des pièces de musée.
A plus.
C'est vrai que les débutants (comme nous l'avons tous été un jour) peuvent vite être trompé par les arguments commerciaux des fabricants industriels...
Au début quand je lisais "hand forged high carbon folded steel differentially clay-tempered" je me disais "nickel ça doit pas être loin des lames japonaises..." aprés j'ai lu des livres, j'ai observé des lames, et je me suis même servi de mes études (sciences de la matière) pour étudier les aliages, les propriétés des aciers en fonction du % de carbone & co...
C'est là que j'ai appris que le "high carbon steel" n'est pas un aussi bon matériau qu'il y parait pour une lame, et que peu importe le "folded" ou le "differentially clay-tempered", une lame industrielle ne dépasserait jamais le stade maru-gitae ou au mieux wariba-gitae... ce qui ne ferait jamais le poids fasse à une vraie lame construite de façon plus élaborée, de san mai awase à shoshu gitae.
Je pense que les vraies lames ne sont pas destinées à la coupe mais au véritable combat (qui n'éxiste plus aujourd'hui) ou au pire au iai de haut niveau. Quoiqu'il en soit c'est effectivement un crime de lèse-sabre de laisser un étudiant détruire une véritable oeuvre d'art, voire un trésor national japonais sur un exercice de coupe échoué. Et c'est pour ça que les confections d'auFilDeLaLame et paul Chen sont incontournables.
je suis totalement d'accord : les grands forgerons mettent leur honneur dans les lames qu'ils forgent et ne mettraient jamais en circulation une lame mal faite portant leur signature.
@+
Salut à tous,
Ce qui me fait penser à une anecdote arrivée à Dominique Bargiel.
Des pratiquants du coin lui avaient demandé s'ils pouvaient tester une de ses lames en composite sur un casque de guerre allemand de la II° guerre mondiale. Ca tombait bien, Dominique avait une lame avec un défaut de forge (une soudure claquée sur 1 cm), donc invendable.
Ils ont essayé le sabre, qui a résisté à 9 coupes, parvenant à fendre le casque (sans toutefois le percer), la lame ne s'était ni cassée, ni déformée. Puis un dernier pratiquant porte un coup tellement raté, que le fil de la lame s'est ébréché. D'où arrêt du test. Dommage.
Comme quoi, même le meilleur des sabres mal manié peut se montrer minable.
A plus.
ooo une constatation de la coupe realiste d'un katana, ou de la solidité du materiel de guerre.
Quand meme, faut le vouloir ,faire un test de coupe sur un casque concu pour arreter des balles et des eclats d'obus.
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