Je sais bien, si j'avais trouve des articles en francais, aussi precis qu'en anglais je les aurais mis,
sauf que j'ai pas trouvé d'equivalent et que je suis pas traducteur .
Sinon y'a google translate
Je sais bien, si j'avais trouve des articles en francais, aussi precis qu'en anglais je les aurais mis,
sauf que j'ai pas trouvé d'equivalent et que je suis pas traducteur .
Sinon y'a google translate
Dernière modification de zev, 30/05/2012 à 09h33
La campagne ca vous gagne!
http://goo.gl/dZ5uWR
Je suis aller faire un tour a cote de la zone d'exclusion en rentrant de sendai, juste pour voir...
A fukushima-shi ca varie entre 0.2 et 0.6 dans la voiture, donc plutot des pointes a 1, 1,5microSv/h pres du sol.
A cote du point chaud (dans les montagnes), dans les 3 microSv/h dans la voiture, et plus de 10 au sol (mon compteur sature a 9.99)...
Gnurou (03/06/2012)
Je me mélange avec toutes unités micro machin et milli truc... du coup je ne me rends pas compte c'est beaucoup ?
Pour s'en rendre compte, en France on tourne autour de 2 ou 3mSv/an .
Sachant que 1 milli Sv = 1000 micro Sv.
D'après Zev, avec les 10 micro Sv/heure à Fukushima près des montagnes en multipliant par 8760 Heures pour une année on obtient environ 87mSv/an
soit 40 fois la dose de la France.
Par contre, je me demande bien ce que tu y faisais avec un compteur geiger Zev, de la pure curiosité ?
Dernière modification de freestyler, 04/06/2012 à 05h46
Freestyler - "Let's meet the outside world and live without regrets !"
10 microSv/h ca fait 87 milliSv/an (10x24x365)
Minimum donc, car le compteur sature a 10 microSv.
En gros on se tape du 0.1 Sv/an (100 milliSv) a cet endroit ( https://maps.google.com/maps?q=37.56...ed=0CAoQ8gEwAA )
J'ai aussi pris une video.
L'alarme est assez stressante...
Dernière modification de zev, 06/06/2012 à 04h27 Raison: reupload de la video
Heu oui ... 10 X 8760 heures pardon.
Je ne sais même plus pourquoi j'ai dit 3600 ...
« Pour les Japonais, à « plus jamais Hiroshima » il faut désormais ajouter « plus jamais Fukushima ». Pour cela, mieux vaut quitter le nucléaire civil. Les discours sur la sécurité se voudront rassurants et péremptoires, comme ils l’ont été par le passé. Le niveau du tremblement de terre qui a déclenché le tsunami était au-delà de l’imaginable : aucun test n’avait été réalisé pour une catastrophe de cette ampleur. Actuellement, les autorités concentrent leur attention sur les moyens à mettre en œuvre pour éviter les enchaînements qui se sont produits à Fukushima. Mais la prochaine catastrophe emprunterait certainement un autre chemin. Après l’accident, et ses conséquences qui perdurent, les compensations se font attendre et les autorités commencent par dire qu’il n’y a pas de victimes, comme dans le cas de Minamata. A « plus jamais Minamata », il faut aussi ajouter « plus jamais Fukushima ».
C’est avec tout cela en tête que plus de deux tiers des Japonais veulent en finir avec l’énergie d’origine nucléaire, et s’efforcent de faire entendre leur voix avec une persévérance et une ténacité qui devraient forcer les autorités à prendre en compte cette réalité. Il faudra certainement continuer et amplifier encore le mouvement pour que des décisions allant dans le sens souhaité par le peuple soient prises. Le premier ministre a promis de recevoir des représentants des manifestants – chose unique dans l’histoire du Japon – mais il a prévenu qu’il écouterait aussi ceux qui réclament la relance des centrales, campant sur ses positions. Bien que le Japon soit une démocratie, le peuple, ici non plus, n’est pas vraiment souverain. »
Lire Au Japon, les antinucléaires se radicalisent, par Marc Humbert dans le Diplo.
Sur le même thème :
« Le 28 juillet, nous avons assisté à la naissance du parti Vert japonais. Près de 1 000 élus locaux ont décidé de prendre en main les affaires de l'Etat. Leur projet politique ? L'abandon définitif de l'énergie nucléaire. Pour cela, ils sont prêts à utiliser des instruments de démocratie directe. Une des clés pour saisir la situation actuelle au Japon semble résider dans leurs idéaux, et leurs revendications ne manquent pas d'ambition : "Nous étions jusqu'à présent les marionnettes d'une civilisation fondée sur la consommation massive d'énergies telles que le pétrole ou le nucléaire." "Nous souhaitons radicalement transformer le concept de cette civilisation moderne qui repose sur la conquête et la mauvaise gestion de la nature, et en finir avec une politique de croissance à tout prix."
Ce débat est récurrent depuis les années 1970, mais on a toujours reproché à ces positions leur manque de réalisme. Qu'en est-il aujourd'hui, après l'accident nucléaire ? Dans le bilan présenté en juin 2011 par la commission gouvernementale chargée de réfléchir à la reconstruction, on peut lire le passage suivant : "Cette catastrophe a soudain révélé la vulnérabilité de la civilisation moderne. C'est l'essence même de notre civilisation qui est remise en cause." »
Lire Energie populaire contre énergie nucléaire, par Nemoto Seiki, dans Courrier International.
Dans un autre domaine, les papillons mutants de Fukushima.
http://www.nature.com/srep/2012/1208...srep00570.html
(article dans 20 minutes ici)
"Il faut être économe de son mépris en raison du grand nombre des nécessiteux"
Chateaubriand.
Hehe, Scientific Reports sur lejapon? La classe
(J'ai publie dans cette revue )
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