« La crise financière au Japon a frappé brutalement les industries exportatrices qui soutenaient depuis des décennies l’essor économique. Elle a révélé l’ampleur du fossé qui sépare désormais les travailleurs temporaires, premières victimes de cette crise, des employés permanents, amplifié par la faiblesse de la protection sociale. Cet écart qui ne cesse de s’accroître n’a cependant provoqué aucun mouvement social notable. »
Lire la suite de ce texte, par Sylvie Guichard-Anguis et Jean-Robert Pitte.