J'avais l'habitude de défendre ma fac, mais force est de constater que les meilleurs profs la fuient et qu'elle est réellement en perdition. Mais ça n'est pas valable qu'à Bordeaux semble-t-il. C'est bien tout l'enseignement du Japonais qui deviens de plus en plus médiocre. Faute de moyens ? Fautes de profs ? C'est sur que c'est pas avec une agreg à chaque éclipse totale et des doctorats aussi nombreux que les poux sur la tête d'un chauve qu'on va améliorer l'enseignement. Les lecteurs c'est bien beau, mais ils ont jamais appris à être profs, et c'est clair que pour certains c'est loin d'être une vocation.

Reste un gros avantage de bordeaux, le grand nombre de conventions avec des universités japonaises. Mme Lévy étant partie, c'est Mme Suzuki qui reprend le rôle, et je pense qu'elle fera aussi du bon boulot, elle est quand même assez juste en général.