Si on écarte les opinions politiques, objectivement on frise la pantalonnade dans cette affaire. C'est bien malheureux pour cette adolescente et ses parents (certainement indigents ou presque dans leur pays) mais il y a des limites au ridicule.
Cela étant dit, ce cas mis en exergue par les médias japonais est loin d'être isolé. Les Chinois clandestins notamment font leur possible pour faire naître leurs enfants au Japon et les y scolariser.
Au Japon ou ailleurs la misère est la même et pousse les gens à mentir, tricher et se mettre hors la loi.
N'oublions pas que les Japonais sont chez eux et ne font qu'appliquer leurs lois. Libre à chacun de les évaluer selon les sensibilités (politiques ou autres) tout en les respectant.
Gardons également à l'esprit qu'accéder aux demandes des clandestins créerait un précédent encourageant d'autres candidats à la même manoeuvre, comme c'est le cas en France, aux Comores et en Guyane notamment.