Si je ne confond pas avec un autre, dans Kamisama mou sukoshi dake le héros et l'héroïne finissent par copuler sans autre protection que la force de l'amour gnangnan et la volonté des scénaristes d'occulter le risque de contagion. Ça m'a fichu en rogne. Comme le traitement de la contraception en général dans tous les dorama (c'est à dire son absence). Combien de rebondissements clichés, articulés sur la mise en enceinte par inadvertance des femmes (oups ! ça alors, c'est comme ça qu'on fait les enfants ?) et le passage éventuel par la clinique d'avortement ?