Les pays touchés par le tsunami étaient, majoritairement, des pays pauvres. Ce n'est pas le cas de la Chine. Et encore faudrait-il que cette dernière, d'une somptueuse arrogance, accepte l'aide étrangère. Quand on voit les difficultés ou interdictions pour les équipes de secours étrangères, il est permis de s'interroger.
Je suis rentré de Pékin avec une équipe cynophile française et les tracas administratifs subis pour aller sauver des êtres humains confinent au grotesque.
Paradoxalement, le Japon a été un des rares pays à bénéficier d'autorisations rapides de la bureaucratie de Pékin.