En effet, dans le "ne discutez jamais de technique", c'est le "jamais" qui perturbe. Est-ce à dire ni sûr, ni hors du tatami ?
D'ailleurs, comment discuter la technique "hors" du tatami sans se cantonner dans le subjectif.
Maintenant, il y a l'art et la manière d'aborder une réflexion sur un aspect "technique". Il ne faut pas non plus monopoliser l'attention au détriment des autres, ni pinailler de manière inconsidérée.
A l'instructeur d'être suffisamment pédagogue et éviter absolument l'argument d'autorité voir si nécessaire proposer une réponse après réflexion.
Tout est une question de mesure.