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    Un poème chinois met en scène un homme qui, du temps de la dynastie des Song, avait le pouvoir de récréer l’immensité de l’univers dans un petit espace, le pen-jin, ou jardin miniature. Plusieurs peintures de l’époque représentent des arbres miniaturisés par les éléments naturels et placés dans des pots artistiquement décorés.

    Origines :

    L’origine du bonsaï remonte en Chine entre le VI ème et le X ème siècle, a l’époque des arbres miniature étaient récoltés dans la nature et faisaient l’objet de composition représentant des paysages, on les appelait « pen-jin ».
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    Uns des saisons à éviter quand on visite le Japon est bien la saison des pluies qui va de juin à mi-juillet, mais il est aussi des régions particulièrement exposées aux précipitations: Kagoshima (au sud de Kyûshû) en est un exemple.


    Au cours des 10 dernières années il est tombé à deux occasions (en 1995 et en 2000) plus d'un mètre d'eau à Kagoshima, rien que pendant la saison des pluies (1 mois et demi environ).
    Plus du double de ce qui tombe à Osaka ou a Tokyo.
    On note également, qu'au cours des dernières années, la saison des pluies a démarré et finit plus d'une semaine plus tôt qu'auparavant.
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    Parmi les divers types de cérémonie, l’histoire culturelle du Japon considère traditionnellement le style wabi, introduit par Sen no Rikyu, comme le sommet de la cérémonie du thé. Il définit le roji comme l’espace qui se situe au-delà de la vie humaine consumée par les passions et l’illusion. Selon lui la pureté évoquée par le mot roji trouve son expression dans le jardin naturel avec ses arbres et ses pierres.

    Les jardins de thé sont étroitement lies au wabi-cha, le « rituel sobre et intériorisé du thé », qui a commencé de prendre racine au Japon vers la fin du 16eme siècle. Le jardin devait fournir le cadre approprié au so-an, la « cabane de chaume », une simple hutte rustique pour boire le thé.
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    L'histoire :
    A Java, en 1942, les japonais ont créé un camp de prisonniers où s'entassent des militaires anglais, australiens, néo-zélandais et hollandais. Le chef du camp, le capitaine Yonoi, est un exemple parfait de la tradition du "bushido", et fait régner un disipline de fer : il est craint non seulement des prisonniers, mais aussi de ses propres hommes.

    Notons que c'est Ryuichi Sakamato qui interprète le capitaine Yonoi, qui signa là l'une de ses première musique pour le cinéma. Cette bande originale connue un tel succès, que rares son ceux qui connaissent d'autres titres du compositeur.
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    par le 09/07/2002 15h01  Nombre de lectures: 4359 
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    La peinture de René Magritte (1898-1967), un surréaliste belge, a toujours fascinée le public par sa magie et sa fantaisie.


    Des oiseaux en vol, des hommes en chapeau melon, des ciels parsemés de nuages, des pommes, tant d'éléments de la vie de tous les jours qui prennent ici un caractère irréel, peints dans des cadres mystérieux.
    Les Musées Royaux des Beaux Arts Belges de Bruxelles offrent au public nippon une occasion unique de découvrir sa superbe collection de Magritte. L'exposition compte également des travaux du peintre venant de partout dans le monde. En tout 90 pièces dont 70 huiles sont réunies et vous invitent à entré dans le monde surréel de Magritte.
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    La cérémonie du thé (Chanoyu) a été crée par les moines bouddhistes Zen. Cela était un passe-temps ayant une grande importance esthétique où le soin et le calme étaient les maîtres mots.
    Au cours de cette cérémonie, on buvait du thé vert en poudre (Matcha) suivant des rites traditionnels.
    A l’époque (XVème siècle), le matcha était employé comme remède car il était très peu connu et les gens le considérait comme une denrée précieuse.
    Au fil du temps, le Chanoyu (茶のゆ) est devenu un rituel de perfection et de raffinement à la cour impérial.
    Pour faire cette cérémonie, il existait un Maître du Thé.
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    L'histoire :
    En 750, pour se protéger d'une pluie diluvienne, 3 hommes, un bucheron, un moine et un domestique se réfugient sous les ruines d'un vieux portique mal famé de l'antique Kyoto. Le moine et le bucheron font tour à tour le récit d'une aventure où ils avaient été cités comme témoins. Au total, 4 versions du même évènement.

    Rashômon est le premier film japonais à avoir reçut le lion d'or de Venise en 1951.
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    L'histoire :
    Deux jeunes hommes de 19 et 20 ans se rencontrent sur leur lieu de travail : un bar de compagnie. Le premier affirme ouvertement son homosexualité, ce qui l'a amener à couper les liens avec sa famille, alors que le second "se cherche" et n'arrive pas à se décider entre une jeune femme qui lui tourne autour et son collègue de travail.

    Un film fort et émouvant, basé essentiellement sur la psychologie des personnages en quête de leur identité et d'un avenir incertain.
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    L'histoire :
    Au XIXe siècle, alors que le Japon traverse une guerre civile, Kesa, une femme superbe, est utilisée pour détourner l'attention des rebelles de la famille impériale. L'un des soldats qui composent son escorte tombe violemment amoureux d'elle, au point de lui demander sa main. Mais Kesa est déjà mariée...

    Note de l'éditeur :
    Avec "Rashmon", sorti quelques années auparavant, "la porte de l'enfer" fut l'une des œuvres qui popularisèrent le cinéma japonais en Europe. Un film superbe qui rencontrera un réel succès.
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    Le boken est un sabre en bois qui reproduit en général la longueur, la forme et la sensation d'un Katana.
    Ce magnifique boken en bois de sunuke vaut la modique somme de 25000 yens!
    De fait, le boken est utilisé pour les entrainements et les katas comme un sabre. Dans la pratique traditionnelle, son emploi fut très répandu pour des raisons essentiellement économiques et de sécurité.
    En fait on raconte que l'utilisation du katana pendant les entrainements augmentait le taux de mortalité dans les écoles de sabres!
    On instaura donc la pratique du boken dans les écoles de sabres afin de ne garder les effectifs. mais la sagesse n'est pas terrestre , le taux de mortalité diminua mais les effectifs chutèrent de beaucoup!!
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    La période de Nara : les grandes compilations

    L'affermissement du pouvoir central, la création d'une capitale (710) sur le modèle de la métropole de l'Empire Tang provoquèrent le besoin de fixer les traditions nationales. Dès 682, l'empereur Temmu avait ordonné à Hieda no Are, qui appartenait semble-t-il, à la corporation des Katari-be ("diseurs"), détenteurs des traditions orales, de faire la synthèse des tables généalogiques et des faits mémorables, afin que les "erreurs fussent redressées".

    Ce dessein sera repris et mené à bien 30 ans plus tard, pour le compte de l'impératrice Gemmyô et sous le contrôle du prince Toneri, troisième fils de Temmu par Ô-no Yasumaro, qui rédigea, en collaboration avec Hieda no Are, le Kojiki.
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