Bonjour,
Je pense que c'est déjà fait. Quand à tes accusations concernant les américains, tu as quelque chose de sérieux à nous proposer au lieu de ton habituel bla-bla?Selon de nombreux récits de survivants du carnage, les soldats japonais ont forcé un grand nombre de ces civils à se suicider plutôt que de tomber aux mains de l'ennemi américain.
de plus je te conseille de lire ceci:
http://www.vacarme.eu.org/article656.html
Il est illusoire de vouloir se battre contre la bêtise humaine, celle-ci l'emportera dans tous les cas.
Pensez au don d'organes ou de moelle osseuse
Déjà fait et rendu piblic
Le départ des troupes américaines est déjà programmé depuis 2006. Heureusement les viols et meurtres sont perpétrés par des militaires américains sont rares, pas nombreux.
Article de l'Humanité 21 Septembre 1995
"Une affaire de viol catalyse l’opposition aux bases US
Le viol d’une jeune collégienne japonaise, le 8 septembre dernier, par 3 soldats américains de la base d’Okinawa ravive la colère des habitants de l’île et relance le débat sur la présence des installations militaires américaines.
Correspondance particulière.
TROIS soldats américains basés sur l’île d’Okinawa sont soupçonnés d’avoir, le 8 septembre dernier, vers 20 heures, forcé une jeune fille - dont l’identité n’a pas été rendue publique - à monter dans leur voiture. Selon l’enquête de la police, ils l’auraient conduite sur une plage isolée où ils l’ont violée après l’avoir bâillonnée avec du papier adhésif.
La police japonaise a identifié les suspects. Mais, en vertu de l’article 17 du traité de sécurité entre le Japon et les Etats-Unis, les soldats US ne peuvent être interpellés qu’avec l’accord des autorités américaines, et uniquement si le ministère public est en mesure d’apporter des charges contre les suspects. C’est grâce à cet article que les 3 soldats échappent à l’heure actuelle à toute poursuite judiciaire au Japon.
Cette agression a provoqué une immense colère parmi la population locale, les enfants des écoles ont envoyé des protestations aux autorités militaires, une manifestation à l’appel d’associations et de syndicats est prévue pour le 26 septembre. A l’unanimité, l’assemblée territoriale a adopté une résolution stigmatisant « la mentalité de force d’occupation et le mépris élémentaire des droits de l’homme des troupes US ». Le gouverneur de l’île, Masahide Ota, a reçu les excuses officielles de l’ambassadeur américain, Walter Mondale.
Pour Suzuyo Takazato, une militante des droits de la femme, citée par le journal « Asashi » : « L’incident a offusqué les habitants qui sont quotidiennement en butte aux nuisances causées par les vols à basse altitude et aux accidents provoqués par la présence des soldats US. Pour 1 cas de viol rendu public, je pense qu’il y en a au moins 40 ou 50. » Depuis 1972, 4.500 incidents impliquant des soldats US ont été dénombrés par la police japonaise."
Bonjour,
Envoyé par chevalier
Un viol et datant de plus de 10 ans c'est tout ce que tu as? Ce que tu fais c'est de la désinformation ou du trolling.
Je crois qu'on devrait te clore le bec en fermant ce topic.
Exagération mais trop quand même
Je me souviens de ce triste épisode. Il s'agissait en fait de deux Marines et un marin. Ils sont toujours emprisonnés aux Etats Unis aux dernières nouvelles.
Je crois les chiffres de Takazato Suzuyo largement exagérés. Il faudrait les appuyer. Quant aux autres exactions, cela va du vol à l'étalage à l'agression physique.
Les pays d'Afrique où des troupes françaises sont présentes se plaignent des mêmes faits.
Des centaines de violes a Okinawa depuis 1945, faites un tour sur internet, j'y suis pour rien. Demandez aux japonais.
"Censeurs, la peur vous a fait naître avec un sécateur"
Gilles Servat
"
PROFIL
Possédant une voix que ses fans décrivent comme éthérée et alliant la grâce et la beauté, Olivia ne cesse de surprendre. Venue à l'origine d'un groupe pop d'idoles et à présent tournée vers le rock, elle a prouvé qu'elle était capable d'assurer divers genres, tels que la pop, le rock et bon nombre d'autres encore. A la fois DJ, compositrice, créatrice vestimentaire et chanteuse, elle a fait preuve de multiples talents, dans un style où s'affirme toujours sa personnalité.
Auteur : J
Traduction : Loic (2006-10-24)
BIOGRAPHIE
Olivia Lufkin est née le 9 décembre 1979 à Okinawa, d'une mère japonaise et d'un père américain (Okinawa possède une importante base militaire américaine malheureusement réputée pour les nombreux violes perpétrés par les G.I.)."
Pour calmer les esprits échauffés, voici une bonne nouvelle:
"La Chine et le Japon se sont mis d'accord jeudi pour mettre en place un groupe d'étude sur leur histoire commune, afin de désamorcer les querelles sur la période de l'occupation japonaise en Chine, a annoncé un responsable japonais à Hanoï."
Aujour'hui la Chine
Sources fiables?
On trouve de tout sur Internet y compris des exagérations sans bornes et des mensonges éhontés.
Demander aux Japonais? Mais je me rends au Japon chaque mois depuis fort longtemps, parle la langue et possède même une résidence là bas. Et, justement, je n'entends pas du tout cela de la part des nombreux Nippons que je fréquente (cadres privé et professionnel).
Pour la base américaine, il doit s'agir de celle de Kadena je présume? Si c'est le cas, oui il y a eu des viols (et autres exactions) commis par des militaires mais si un seul est déjà de trop il ne faut pas généraliser et imaginer qu'il s'agit d'un coupe gorge où des femmes sont violées quotidiennement. Heureusement ce type de comportement est relativement rare. On n'a pas affaire ici à des soudards mais à des militaires encadrés dont certains sont, parfois, des crapules.
Pour l'anecdote, GI n'est qu'un terme générique correspondant à certains membres des forces armées américaines. Il se trouve que cette catégorie est minoritaire à Okinawa où les aviateurs et le Corps des Marines sont en nombre plus important.
Mes sources: mon passé militaire principalement.
Toujours à propos de source, le quotidien L'Humanité cité plus haut n'en est pas une crédible pour moi. La Pravda version française n'a aucun crédit auprès des gens sérieux, historiens ou pas.
Mais je crois que nous digressons vraiment par rapport au sujet de départ. Toutes mes excuses au Modérateur et aux Membres.
Bonjour,
c'est vrai que Gilles Servat chanteur breton et Olivia Lufkin sont des références historiques à prendre avec le plus grand sérieux.
Je ne sais pas si tu as une idée du ridicule de tes affirmations.
Voici un autre article de Courrier
International, mais tiré de l'Asahi. Mais je sais très que l'idéologie rend aveugle.
Courrier international - n° 559 - 19 juil. 2001
Asie
JAPON - Okinawa en a assez des soldats américains
Un nouveau viol d'une Japonaise par un sergent américain a provoqué une vive protestation sur l'île d'Okinawa. Pour la première fois, Washington a accepté de livrer le suspect aux autorités locales.
Le gouvernement américain vient d'accepter de remettre aux autorités japonaises un sergent de son armée de l'air. En poste à la base aérienne d'Okinawa, cet homme est accusé d'avoir violé une jeune Japonaise dans un quartier animé de la commune de Chatan. Le 2 juillet, trois jours après le viol, la police d'Okinawa a lancé un mandat d'arrêt contre le soldat, et le gouvernement japonais a aussitôt demandé aux Américains de lui remettre ce dernier. Mais les négociations entre les deux pays ont traîné en longueur, car, entre autres exigences, les Etats-Unis ont voulu avoir la garantie qu'aucune atteinte aux droits de l'homme ne serait commise au détriment de leur ressortissant et qu'il pourrait bénéficier des services d'un interprète américain pendant son interrogatoire.
La série de crimes commis par des soldats américains sur l'île et le piétinement des dernières négociations concernant le sergent ont renforcé l'hostilité de la population locale envers la présence militaire américaine. Mais, comme les Etats-Unis ont, pour la première fois, accepté de remettre un suspect aux autorités japonaises avant son inculpation, on peut considérer qu'un pas en avant a été accompli. Néanmoins, il est de la plus haute importance que les autorités des deux pays admettent la présence de nombreuses lacunes dans les procédures criminelles définies par l'Accord sur le statut des forces [stationnées dans l'archipel] et qu'elles s'emploient à les corriger.
En octobre 1995, un mois après le viol d'une fillette de 12 ans par trois soldats américains, Washington et Tokyo étaient tombés d'accord sur la nécessité de revoir l'accord en question. Entre autres changements, le gouvernement américain s'est engagé à accorder une attention bienveillante aux demandes des autorités japonaises lorsque celles-ci souhaiteraient qu'on leur remette un militaire américain soupçonné d'un délit grave tel qu'un meurtre ou un viol. Cependant, le fait que la décision de remettre ou non le suspect soit laissée à l'appréciation des Américains donne à penser qu'ils peuvent changer d'attitude à leur convenance. Au nombre des délits graves pour lesquels le Japon devrait pouvoir réclamer qu'on lui remette un suspect, il faudrait ajouter les incendies criminels et les vols à main armée.
Mais la question fondamentale est de savoir jusqu'à quand on se contentera, face à un problème embarrassant, de colmater les brèches sans vraiment chercher à régler les problèmes inhérents à l'Accord sur le statut des forces. Lors du viol commis en 1995, des voix s'étaient élevées des quatre coins du Japon pour réclamer sa révision, et le Premier ministre de l'époque, Murayama Tomiichi, avait déclaré que son gouvernement s'efforcerait d'améliorer ses conditions d'application et, en cas d'obstacle majeur, envisagerait un amendement. Washington s'oppose néanmoins à l'idée de réviser l'Accord en faisant valoir qu'il accorde déjà des conditions particulières au Japon et que, s'il prenait d'autres dispositions en sa faveur, il risquerait de déclencher une réaction en chaîne chez des alliés comme la Corée du Sud et l'Allemagne, qui pourraient vouloir bénéficier des mêmes conditions.
Même concernant les "budgets de sympathie" accordés aux troupes américaines stationnées sur l'archipel [lire ci-contre], Tokyo a jusqu'ici renoncé à réviser l'Accord, en ajustant tous les cinq ans un accord subsidiaire. Il est temps à présent que notre pays cesse de courber l'échine. Un pays étranger qui stationne ses troupes au Japon aujourd'hui n'a pas les mêmes responsabilités que pendant la guerre froide. Pourquoi considère-t-on qu'un militaire américain doit être jugé par les institutions de son pays quand on trouve naturel qu'un civil américain ayant commis un crime dans un quartier animé de Tokyo soit arrêté par la police japonaise ? Pour que l'alliance nippo-américaine porte vraiment des fruits, il ne faut pas hésiter à réviser cette relique de la guerre froide qu'est l'Accord sur le statut des forces.
Asahi Shimbun
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