Les senteurs au Japon sont elles misent en avant ? (à part l'encens)
Je veux parler de senteurs odorantes
Les senteurs au Japon sont elles misent en avant ? (à part l'encens)
Je veux parler de senteurs odorantes
Vas où tu veux, meurs où tu dois.
http://www.lebujutsu.net
Justement qu'elle est l'originalité de la senteur d'onsen ? l'eau a t'elle une senteur ?
Certains bassins sont odorants suivant l'additif, généralement à base de fleurs et changé sur une base quotidienne dans la plupart des établissements.
L'odeur d'un vrai Onsen d'une montagne volcanique c'est le souffre, en gros ca pue l'oeuf pourri!
Sinon je dirais que ca sent le shampoing :P
Une odeur que j'aime beaucoup mais que je n'arrive pas a identifier, dans les rues traditionnelles en septembre octobre novembre, j'adore. D'apres un commentaire sur mon blog ca serait les Kinmokusei.
J'aime aussi l'odeur du feu de bois, mais ca me donne le mal du pays.....
+1Envoyé par fujijana
Sinon, l'odeur de curry dans la rue, l'odeur de tabac froid qui vient des cendriers publics remplis d'eau le matin (ca a tendance à disparaitre ceci dit), ... il y en a d'autres, mais ca ne me vient pas à l'esprit là comme ca.
Je vais faire plus attention
L odeur des Oden quand tu rentres dans un conbini, celle tres particuliere des patchinko quand la porte s ouvre au moment ou tu passe devant dans la rue, l'odeur du sake, celle de l humus moite des forets et puis toute les autres que je ne peux plus sentir en ce moment du fait de mon con de rhume...
L'odeur des philippines ou des putes de luxes quand tu rentres dans un convenu d'un quartier qui le soir s'anime.
C'est une odeur de parfum bon marché, est lourd.
Ça m'a encore fais ça hier soir, je fais des tas d'heures supp, et donc je vais prendre le bento pour le bouffer au boulot. Et cette odeur de philippine qui va travailler me rappelle bien des soirées.
L'odeur de la luxure et du péché, c'est un fumet qui a du sens...Envoyé par icebreak
Reste que celui des philippines est probablement trop lourd et trop âcre, encore qu'il soit plus léger que celui des chinoises et moins capiteux que certaines filles de joie Parisiennes au parfum terriblement rance.
Sans continuer dans ce périple qui risque d'en mettre quelques-uns mal à l'aise, j'admet que ces petits sachets composés de bois exotique en copeaux, de ces échoppes traditionnelles de Kyoto, admirablement cousus à la main et généralement entreposé dans le linge ou les placards, dégagent toujours des relents exotiques forts et agréables. Un parfum indéscriptible mais toujours assez envahissant comme des volutes de tabac havanais. Souvenirs olfactifs qui pèsent toujours sur la mémoire. Et ce, invariablement.
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