Bonjour,
Hs on
Djiitt, je ne confonds absolument pas l'escalade en solo avec auto-assurage et le solo intégral comme on l'appelait à mon époque dans les années 70 mais comme ce n'était pas le but de ce topic je n'allais pas entrer dans les détails. Tu pinailles pour pinailler.
Que tu fasses la directe américaine au Drus en solo avec auto-assurage (tu pourrais m'expliquer comment on fait sans doute) ok mais une voie de 200m au verdon je n'en vois pas l'intérêt.
Au passage j'étais guide de haute-montagne.
Fin du hs.
Rom,
Des références stp et autre que la trahison de Akechi Mitsuhide qui était un daimyo ne l'oublions pas.Parce que les samourais sont tout sauf fidèles, donc l'esprit de groupe, de coopération est un phénomène récent qui ne peut pas être mis en parallèle avec les samourais... 2 pourcents de la population...
Dans l'introduction du Heiho Kadensho, écrite par William Scott Wilson, grand spécialiste de l'histoire et de la culture japonaise il y a ceci à propos de Tokugawa Ieyasu; je cite: "et par dessus tout, Ieyasu était sensible à la loyauté, il est dit que dans ses troupes pas un de ses soldats ne mourut en tournant le dos à l'ennemi." Ceci est révélateur de l'état dans lequel se trouvaient les dîtes troupes.
Dixit Mac Arthur en 1944: "nous nous battons pour sauver notre peau, eux se battent pour mourir".Pour le sacrifice de l'armée nippone, c'est je crois, simplement due au fait de la guerre
Dans le cas de la prise de Manille, la reddition leur a été plusieurs fois proposée et à chaque fois refusée. C'est certain il y a eu d'autres exemples dans le monde, mais jamais comme au Japon, la honte de la défaîte était quelque chose d'inadmissible chez le guerrier japonais. La guerre était perdu dès 1942 le gouvernement japonais et l'armée le savaient bien, pourquoi ont'ils continués? sans les bombes A elle aurait encore durée plus longtemps.
Peux tu m'expliquer les grand principes du confucianisme et du boudhisme stp? A t'entendre Il paraît que je ne comprend pas grand-chose.
Maintenant je répète je n'affirme rien je me pose cette question: l' attitude presque générale de l'employé japonais face à son travail a-t'elle un rapport avec un certain détachement vis-à-vis de la mort.
Après si tu veux nous pourrons débattre du perfectionnement permanent, du Yin et du Yang, et aussi des dharmas et du né, du non-né et de la réincarnation, de l'oubli du soi (Dôgen Zenji) en y ajoutant un zeste de Nichiren.
Ps, pour les livres d'histoire, merci mais je ne t'ai pas attendu.