Non !!!
Tu déconnes Icebreak .
Dans une boite française, tu parles principalement anglais non ? (je le parle couramment)
sincèrement, t'en penses quoi de ma situation Icebreak et tes conseils ?
merci
Non !!!
Tu déconnes Icebreak .
Dans une boite française, tu parles principalement anglais non ? (je le parle couramment)
sincèrement, t'en penses quoi de ma situation Icebreak et tes conseils ?
merci
Je pense que tu fais fausse route, meme dans un entreprise francaise ceux qui ont le privilege de parler uniquement en anglais ou francais sont souvent des directeurs; pour le reste c'est que du Japonais.
Maintenant en finance de marche et dans les banques d'affaires, l'anglais seulement peut suffire.
En général la langue de travail c'est le japonais. Ne serait-ce que parcequ'une entreprise ne travaille pas en vase clos, elle a des fournisseurs et des prestataires ainsi que des clients, et ils sont pas tous anglophones.
Le français, vaut mieux l'oublier lui.
Même à la Chambre de commerce, faut transmettre ses annonces en anglais.
Après il y a des exceptions.
Petite expérience personnelle: équipementier automobile français dont je garderai un semblant d'anonymat, Vale* a un bureau implanté à Tokyo, Yoyogi. Plus précisément dans ma branche, Vale* Electrical Systems, la langue utilisée dans le travail était l'Anglais, tout simplement parce que ni le GM, ni le technico-commercial ne parlaient Japonais. D'ailleurs, c'est une des raisons qui a orienté le choix en ma faveur pour ce stage parce que devant le client Japonais, ça la fout mal quand tu regardes qu'en face le concurrent Bos*h aligne des commerciaux 100% japanophones (sans compter que dès le départ, la n'automobile est un secteur où le Japonais voit pas pourquoi il irait voir ailleurs vu qu'il trouve le meilleur à la maison)
Je dis exception, parce que dans le même batiment on avait les autres branches (Security systems, SDchaisplusquoi, Wipers...) et tout le monde parlait parfaitement Japonais.
Bref, si tu parles pas, faut apprendre. Sinon tu peux aussi jouer au Keno.
Pour optimiser les chances, il faut d'abord maîtriser la langue.
Sinon tomber sur la bonne opportunité
http://ccifj.mycvtheque.com/index.ph...e=b1a05627a994
CCIFJ is recruiting for the Tokyo office of one of its company members, a major apparel company, a FINANCIAL CONTROLLER.
...
Required language proficiency :
French (or English) : Fluent (Spoken, written)
English : Fluent (Spoken, written)
Japanese : Good command
(Good Japanese command is a plus but working language should be French or English)
Les bonnes opportunnité c'est souvent faussé.
J'avais postulé pour une annonce sur Tokyo pour un simple designeur WEB.
Au final ils ont pris un ingénieur trillingue. Le gars au tel m'a expliqué qu'ils avaient reçu plus de 100 candidature...
Le truc c'est qu'ils réduisent les obligations pour avoir le plus de demandes.
Mais au final, le candidat est souvent un japonais qui maitrise l'anglais ou le Français, ou un anglophone qui maitrise le japonais.
Bref si tu maitrise pas le japonais, laisse tomber !
Comme tu le dis souvent mais pas forcement toujours.Envoyé par icebreak
Ca ne coute pas grand chose de tenter sa chance. Peut-être en pure perte mais on ne sait jamais.Envoyé par icebreak
Néanmoins, je suis d'accord avec toi que la maîtrise du japonais est plus que recommander pour trouver un emploi.
dans les banque francaises au Japon au moins (et sans doutes les autres), le japonais n'est pas necessaires pour beaucoup de postes. Ce qui compte c'est l'experience, c'est a dire les competences.
Par contre, la ou je rejoinds les interventions precedentes, c'est que tu ne peux pas vivre correctement au Japon si tu n'as pas au moins le niveau JLPT3 (et je dirai meme JLPT2). En ce sens les banques ne te recruteraient pas sachant que tu ne tiendrais probablement pas le coup. Il faut savoir que ne pas parler japonais n'a pas la meme signification pour un top manager qui ne parlera jamais avec les locaux et a qui on ramenera tout sur un plateau et un jeune qui doit se demmerder avec les moyens du bord.
Tu n'imagine pas ce que c'est que de vivre dans un pays ou on ne parle pas la langue locale.
D'ailleurs les ESSEC et autres ESC que j'ai croise au Japon puisque tu y fais allusion avaient tous un niveau de japonais de correct a tres bon. (ils sont arrive avec un niveau JLPT3 minimum)
Partir au Japon ou ailleurs en Asie, c'est un choix de vie et un gros investissement.
Je pense que ce que tu devrais faire, c'est apprendre le japonais et passe le JLPT3, et aussi passer tes prochaines vacances au Japon. Meme si un niveau JLPT3 ne sert a rien professionnelement, Ca montrera ta motivation et egalement ta determination (tres important) et tu passeras de 5% de chance de partir a 25%.
Parce aue pour l'instant l'image que tu donne a un recruteur, c'est celle du mec qui tient pas la route.
Aussi y'a beaucoup de jeunes diplomes qui "zonent" au japon a la recherche d'un emploi, aussi si tu as deux ans d'experience tu fera la difference grace a ca. Pour un VIE si tu y tiens vraiment, l'experience sera un atout mais pas dans certaine grande banque qui reserve ce programme aux jeunes diplomes. Renseigne toi autour de toi sur ce point.
Bon, je vais attendre 2 ans et en octobre, je vais m'incrire à l'inalco en cours du soir (le CPLCO) qui m'intéresse depuis un moment mais à cause de mon boulot et de mes horaires, je ne me suis pas inscrit en 2006.
Tres bien, merci, mon ami!
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