A lire certains post, il semble bien que ces critères ne soient pas communs.
Au Japon, le shodan représente le début de l’apprentissage. Avant, il s’agit, au travers de technique, d’une éducation du corps, de l’esprit et des principes de l’école.
(notion de stabilité, du « kime, hara et tanden», quelques techniques permettant de comprendre les principes fondamentaux, maai, kuzushi, termes japonais, ….)
Si cette approche est admise par les pratiquants occidentaux, elle n’est pourtant pas valorisée voir respectée.
Si l’on considère que ces critères peuvent être atteint en 1 ou 2 voir 3 ans, beaucoup de dojo l’estime à 4, 5 et parfois jusqu’à 10 ans.
Est-ce vraiment nécessaire pour atteindre cette notion de débutant et pour pouvoir réellement étudier la discipline enseignée dans le dojo.
Ou y a-t-il d’autres éléments objectifs, éventuellement subjectifs, pour retarder ce « passage » de novice à élève.
Retard, qui maintient cette perception trop fréquente, que le shodan est plus un aboutissement qu’un départ.
Qu'en pensez-vous ?