En toute logique la meilleure traduction doit être celle de la Pléiade. D'abord car plus récente et donc bénéficiant de méthodes de traductions plus abouties, ensuite parce que la première traduction est de Kikou Yamata qui n'est pas traductrice de formation et ne disposait pas de tous les moyens qu'ont les traducteurs actuels comme Daniel Struve. Ce n'est pas pour dénigrer le travail fait en son temps par Kikou Yamata, car à mon avis elle a tenu une part importante dans la diffusion de la littérature japonaise en France et ses traductions ont toujours un petit charme qui est loin de me déplaire.