Arata est chargé par la mairie de contrôler les nuisances sonores de son quartier. Mais il prend son métier tellement à cœur qu’il met en place une immense carte sonore des bruits particuliers qui l’intéressent plus spécialement, comme les sonneries des cloches des temples. D’autres dissonances encore …
Il est très amoureux de Fumi, qui n’éprouve pas les mêmes visions sentimentales que lui. Et de son amie Mariko, sa partenaires de jeux érotiques.
Il épie et ouvre les messages du répondeur automatique de Fumi ( love affairs ), tandis que Mariko, elle, espionne les conversations téléphoniques. Et puis il y a son ami, Ikuo, accordeur de pianos, souvent ivre et bousculé entre son épouse et son fils.
Tous deux connaîtront un vrai naufrage amoureux.
Encore une fois, l’impression de ce roman me fait découvrir un monde si étrange et pourtant relativement proche de nous, physiquement, mais à des années-lumière du monde flottant dans lequel nous évoluons ( c’est assez flou, mais je me comprends, ce qui, avouez-le est l’essentiel … )