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Sujet : Nouvelle Vague japonaise : déjà balayée ?

  1. #11
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    Petite question en plus, pour la route :
    que pensez vous de "l'oeuvre" de Takashi Miike :
    - The Hapiness of katakurisu..
    - Ishii the killer
    - Audition
    - Dead or Alive...
    Il a travaillé justement avec Shoei Imamura. Ou va ce cineaste ? et surtout pourquoi ?

    "Qu'importe la noirceur des nuages dans le Ciel, au dessus il y a le Soleil"

  2. #12
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    Tout d'abord, mes excuses pour la confusion... mais la "nouvelle vague" me semblant si ancienne, j'avais compris par "nouvelle vague" les "jeunes cinéastes" des années 90, car je ne crois pas qu'il faille s'intéresser au destin dune nouvelle vague d'il y a 50 ans. Eventuellement faire un bilan, s'intérroger sur ce qu'elle a apporté, si elle a rempli les objectifs de ses manifestes, etc. Pour la NV française, m'est avis que le bilan est très mitigé, et qu'elle est peut être à l'origine de ce dédain très français pour l'entertainment que tu évoques, Wakataka. Et pourtant, nul ne peut nier le réel amour d'un Truffaut pour le cinéma... mais à vouloir théoriser, casser, la NV a inauguré l'ère de la critique cinématographique. Balzac a très bien raconté dans Illusions perdues ce que donne cette ère...
    Je ne connaisuffisamment le cnéma japonais pour me prononcer.
    En revanche, on a parlé d'une "nouvelle vague" dans les 90's (ben, Miike, justement, mais aussi Suwa, Sabu, Aoyama...). Et donc là, comme je le disais, je suis sceptique sur le fait que l'on puisse parler d'une nouvelle vague. Une nouvelle génération, certainement, en revanche.

    The Hapiness of katakurisu..
    - Ishii the killer
    - Audition
    - Dead or Alive...
    Je l'adore car il est inclassable. J'ai beaucoup aimé l'Homme oiseau de Chine (chuugoku no XXjin ... oublié ma on'yomi) avec Masahiro Motoki. A l'opposé de sa poêsie, le très trash film de yakusa new look Ichi the killer m'a fait beaucoup rire. Audition m'a glacé car c'est un dorama qui dérape... la moitié de la salle s'est vidée, moi, je me tortillais dans mon siège... J'aime bien Gozu... j'ai plusieurs vidéo Miike, je le trouve amusant, prolifique. C'est ps mon préféré des "jeunes" réalisateurs, mais j'aime sa manière de ne pas prendre de pincettes et revisiter le cinéma de genre, notamment yakuza (Gozu, Ichi ou bien ce film de 96 avec des gosses qui décident de rajeunir la mafia :lol: et butent tous les parrains !)

  3. #13
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    Et toi, Wakataka, que penses-tu des films de Miike ?
    Pour l'instant, je n'ai vu qu'Ichi the killer, adapté d'un manga, avec des clins d'oeils aux jeux vidéos (...); ainsi que Dead or Alive 1, très drôle.

    Sinon, oui les jeunes cinéastes des années 60 ont eu beaucoup de problèmes avec les studios parce qu'ils voulaient bousculer les anciennes règles, s'attaquaient aux tabous, et ne voulaient pas qu'on leur dicte leur conduite (ni se soumettre aux producteurs, ni parfois, au nombre d'entrées de leurs films).

    Enfin, pour Ozu, je trouve pas que "Voyage à Tokyo" soit tout à fait un véritable mélodrame (genre que j'aime bien par ailleurs). Je m'explique : l'art d'Ozu est tout en nuance. Comme dans la vie, il y a des moments heureux, d'autres non, des moments où l'on boit, rit, se sent triste...
    Dans voyage à Tokyo, quand la fille (ou la belle fille plutôt ?) découvre le père de famille (qui a perdu sa femme la veille) debout devant la maison : elle s'approche de lui. On s'attend à un échange "dramatique".
    Il lui dit juste : "quelle belle journée ! "...
    Sinon, Suppaiku, j'en suis certain, pourrait parler des heures d'Ozu. Au début, on pourrait se dire : Ozu, c'est quoi ces vieux films ? Quand on se plonge dans ses films, on en sort changé.

    Ce qui est marrant c'est que la NV japonaise avait beaucoup attaqué Ozu (qui peignait un monde figé, manquant de liberté). Maintenant, Yoshida (Eros + Massacre...) a écrit un livre entier sur lui (traduit en français), et le place très, très haut.

  4. #14
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    Suppaiku et Wakataka, si vous avez des comptes à régler avec Télérama, ils ont un forum.
    Ici, vous êtes HS, et un peu lourds.

  5. #15
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    Je ne vois pas de règlements de comptes. Objection rejetée. Continuez.

    Sinon, n'oubliez pas non plus "Visitor Q". Tourné en vidéo numérique et totalement déjantée. S'il devait y avoir un "style" Miike, ce serait justement qu'il n'y en a pas vraiment. A chaque fois on se prend un retour dans la face tant on est surpris par ce qu'on voit.

  6. #16
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    Tout d'abord désolé pour Télérama, mais j'ai quelque problème de conscience avec l'intellectualisme elitiste francais. Cependant c'est vrai qu'il n'y a pas que ce magazine qui devrait etre cité. Tout comme "Le Monde" ils sont juste la tete de pont pour les autres.

    Concernant Takashi Miike :
    - je rejoins l'opinion de Suppaiku sur Audition.
    - par contre, je n'ai vraiment pas apprécié l'ambiance de Katakulis, meme si l'idee de melange des genres et des materiaux etait interessante. Je n'ai pas senti vivre les acteurs dans l'action.
    - Ichii the Killer (decidement il aime bien couper les pieds) : suprenant et choquant (plutot grandguignolesque ...) l'acteur principal est un peu kimochi waruiiii mais bon c'est le but.

    Au niveau cinema japonais j'aime beaucoup de chose :
    - kurosawa (le maitre) : metaphores historiques, la technique cine (couleurs, mouvements, visages). Sur certaines scenes je pense qu'on retrouve une partie du genie d'Eiseinstein (mains, visages, ombres)
    - kurosawa (le jeune) : tout...
    Par contre j'ai un problème aigu de compréhension des pink movies (je deteste). J'ai du mal a adhérer à l'esprit du film plus qu'à sa réalisation.

    Concernant le phénoméne "nouvelle vague" et "nouvelle nouvelle vague", la plupart des cineastes francais du second mouvement se sont convertis aux films commerciaux (Luc Besson, Matthieu Kassowitz...). Je ne pense pas que ca a ete le cas au Japon. N'est ce pas une des raisons de l'insucces des realisateurs nippons dans le mOnde.
    - Années 60-70 : le monde entre dans la nouvelle vague, finalement France, Japon, UK, Allemagne et autres font de meme
    - Années 80-70 : Nouvelle Nouvelle Vague en France et reconversion des jeunes artistes francais. Difficultes de japonais a rebondir devant la mutation de la societe japonaise...
    Est ce que je me trompe ?

    Concernant Kitano on peut se demander ou se place le succes de ses films. Notamment Kikujiro. D'un film qui peut etre vu, il est devenu un film qu'il faut voir. Un peu comme Amelie POulain.
    J'ai deja cite dans un autre post le film "A no Natsu no hi, tonderu jiichan", d'une sensibilité et d'une emotion que n'atteint pas (c'est juste mon avis) kikujiro no natsu. Les deux sont sorti a peu pres a la meme epoque mais A no Natsu no hi n'a pas trouve de ditributeurs en Europe.

  7. #17
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    Pour les revues (sans en citer une en particulier) je dirais même pas qu'elles sont élitistes mais juste "snobs", globalement. Parfois, elles permettent de faire découvrir des artistes (cinéastes, chanteurs, auteurs de romans...) mais elle passent à côté de certains (et pas des moindres...).
    Sinon, j'avais commencé par me poser la question de la difficulté de trouver certains "classiques" de la nouvelle vague japonaise en dvd ou en cassette, ou même à la télé : La pendaison de N. Oshima, les films de Yoshida... C'est vrai qu'ils sont passés dans des festivals : mais on retombe toujours là : et si le 26 février 1997 j'ai raté tel film, et bien... Tant pis.
    Sinon, les pink on peut ne pas les aimer. Les meilleurs d'entre eux sont volontairement choquants (plus au niveau de la tension que ce qu'ils montrent), et j'en connais à peine une dizaine. Sinon Ai no corrida c'est un film parmi plein d'autres dans la carrière d'Oshima (3 pinks ou 2 sur plus de 50 films c'est peu) : c'est justement ce que je reproche aux chaînes de télé : elles montrent un, mettons 3 films de lui (Furyo...), qui sont peut-être pas du tout les représentatifs.
    Par contre, (que l'on aime ou non ses films) Luc Besson comme d'autres n'ont aucun rapport avec la Nouvelle vague (ou nouvelle nouvelle...). Je m' étends pas sur la question mais en France ça dure de la fin des années 50 jusqu'au milieu des années 60, ensuite c'est le mouvement appellé "Nouvel Hollywood" (génération De Palma, Scorsese, Coppola... / films d'autres réalisateurs comme Bonnie and Clyde, Easy Rider, French Connection... ) aux Etats Unis. Dans d'autres pays, en même temps, il y a les nouveaux cinémas : au Japon, Brésil (cinema novo), pays de l'Est...
    Après il reste toujours un esprit de tout ce vent de liberté, les années suivantes.

    Mais tu as raison ces films ont parfois vidé les salles. On peut regretter que ces films n'aient pas leur place, (une petite place) aux côtés des blockbusters.

    Pour concurrencer le cinéma américain sur "son terrain", il n'y avait que le cinéma japonais, ou italien (western spaghetti) : il suffit de voir Kurosawa et l'influence pour les westerns américains mais aussi chez George Lucas... Le cinéma japonais a un beaucoup de retentissement à Hong Kong (John Woo, Tsui Hark, Ringo Lam...), donc aux Etats-Unis.
    Matrix est peut-être parfois inspîré par Tetsuo 1 et 2...

    .

  8. #18
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    - Ichii the Killer (decidement il aime bien couper les pieds) : suprenant et choquant (plutot grandguignolesque ...) l'acteur principal est un peu kimochi waruiiii mais bon c'est le but.
    Je dois dire que tant l"'huile de friture" que ce que j'appellerais le "sort tragique d'une prostituée" sont deux très grand moment de cinéma comique - les yeux désespérés de cette fille m'ont tordu de rire véritablement !
    Je crois qu'il a beaucoup d'humour et comme le dit Gattaca, ce qui est étonnant, c'est qu'il n'y a pas un "style" Miike, si ce n'est un no limit total où toute la culture japonaise passe à la moulinette, renvoyant tous les films de genre, le manga, la "beauté japonaise" à de simples ingrédients utilisables, empilables et téléscopables; quand à la technique, idem, il n'y en pas pas "en soi", mais vidéo, pellicule, plans sereins, courses poursuites, tout y passe.

    Bon. Et l'influence de la "tradition documentaire" dans la nouvelle et la nouvelle vague nipponne ? De Imamura (Histoire du Japon par une hotesse de bar, Evaporation d'un homme) à Kawase (Shara, Moe no suzaku), et en évocant l'influence très forte de Chris Marker sur la Jeune génération des 60's, en rappelant la très forte présence du documentaire dans l'histoire du cinéma japonais, il y a au Japon une autre manière de faire de la fiction. Shara, Petite fièvre des vingt ans, le village de mes rêves... des films qui dévoilent plus que leur scénario et laissent voir un quotidien, une société, une réalité que la fiction habituellement recompose, réécrit, théatralise. Moi, Shara m'a véritablement "vané". On sens presque l'odeur des maisons en bois... Et alors, qu'importe l'histoire...

  9. #19
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    Je voulais tout d'abord vous féliciter pour la remarquable discussion en cours, et c'est un plaisir énorme de vous lire...
    Je découvre peu à peu les grands classiques japonais (en particulier Kurosawa et ses films non sortis en France mais disponibles aux hasards du net) et c'est après le visionnage sur Arte d'"Ohayo" et devant l'enthousiasme de Suppaiku pour son coffret que je m'immerge peu à peu dans Ozu...
    J'ai cru lire et aussi entendu que la nouvelle vague japonaise des 50's / 60's souffrait auprès des jeunes d'un énorme déficit de notoriété.. Mais plus encore récemment, j'ai aussi ressenti le fait que finalement en comparaison de la France, rares sont les japonais qui connaissent leur cinéma national. Ce n'est pas vraiment un mystère lorsque l'on sait que les capitaux du cinéma japonais sont aussi français.. Mais est-ce que l'un d'entre vous a une idée qui expliquerait ce certain désamour? (qui semble effectivement se lézarder peu à peu depuis le succès de Ring)
    Est-ce que les différences de perception culturelle explique le fait que nombre de films japonais aient un énorme succès à l'étranger et non au japon, et que l'inverse se vérifie également?

    (j'espère que j'ai été clair... )

  10. #20
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    Je pensais qu'il y avait un mouvement nommé NNV (incluant LB dans ses premiers films). Sorry. Par contre il y a bien un mouvement NNV. mais dont le succes confidentiel et temporaire (2-5 ans) a peut etre ete enterre.

    Sur les films japonais ayant du succes en France et inversement, je ne suis pas sur qu'il y ait une place pour les films "d'auteurs" (target clientele).
    On trouve en autre dans les "nouveautés" :
    - succés (commercial) japonais (miyazaki, ring, gozilla...) succés en France et à l'étranger ;
    - Kitano : va falloir voir ce que l'on appele cinema d'auteur, je ne suis pas sur du label pour lui ;
    - succés (commercial) francais au Japon : Taxi, Amélie Poulain, Leon, 5eme element (decidement Mr Besson est toujours la ou on l'attend).
    Je pense cependant que cela va monter en puissance, en tout cas sur le plan commercial.

    Le reste : c'est du confidentiel (et la je rejoins Gigano), meme pour des auteurs comme Oshima, Miike.

    Versus (il faut aimer mais bon) n'est pas reste longtemps à l'affiche... Je pense qu'il y a beaucoup de parisiens parmi nous donc pas trop de difficultes (MK2, FNAC...) mais pour les autres c'est vraiment la galere pour trouver du bon materiau. Sinon il reste internet (mais bon c'est interdit) ou le XIIIeme arrondissement (a les chinois, s'ils n'etaient pas la...)

    Il y a quelques années, on refusait les dramas japonais et les mannequins asiatiques car invendables. Les mentalités occidentales changes. Mais si les clés de lectures ne sont pas toujours aisées à comprendre (Moe no suzaku, Monoke Hime), "les nouveautés" ont plusieurs niveaux de lecture ce qui facilite la visibilité : Ring, par exemple, regroupe pas mal de choses (mort, fantastique, fantomes, culpabilite...) bref on peut placer le curseur la ou l'on veut. Pour moi Battle Royale I (je ne parle pas du 2, j'ai poste un commentaire tellement devalorisant que GATTACA a du avoir peur de le mettre en ligne) est un autre exemple de ce type (bourrin, ou metaphorique, scandaleux).
    Mais il y a une barriere enorme : la langue. Je ne parle pas de la compréhension mais de l'audition (c'est pas du Miike). Les 3/4 des gens qui sont venu avec moi voir "Aniki" etaient par terre en rigolant au moment ou les Yachan se fachent. Le quart suivant c'etait moi et des chinois. Moi en ayant cotoyé certains, je peux vous dire que ca ne me faisait pas rire. Quand à mes amis chinois abreuvés depuis leur plus tendre enfance par des films de propagande sur les Japonais (et leur voix), ils ne riaient pas non plus.

    Sinon, je pense que l'etude des dramas est tres interessante pour comprendre le comportement japonais et surtout leurs evolutions. C'est vrai qu'on s'ecarte un peu du sujet desole.

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