Patrons occidentaux au Japon
Après Carlos Ghosn qui a sauvé Nissan, c'est Howard Stringer qui est devenu le pdg de Sony.
Pensez vous qu'inversement un manager japonais pourrait faire pareil en occident? (quoique licencier d'un coup + de 20 000 personnes c'est pas sorcier mais en France c'est pas possible au risque de déclencher des émeutes:lol:)
le management à la japonaise est il inexportable?
Re : Patrons occidentaux au Japon
Citation:
Envoyé par
icebreak
Question mal formulée.
Le management à la japonaise s'exporte super bien.
Le manager japonais lui vaut mieux qu'il reste chez lui.
2 Entrevues récentes avec Ghosn(Nissan Mitsubishi Google)
https://www.frenchweb.fr/carlos-ghos...5d2a-106971881
Re : Patrons occidentaux au Japon
Citation:
Envoyé par ;31161
Avec JWPCE on obtient cette définition
稟議 【りんぎ】 (n,vs) reaching a decision by using a circular letter, reaching a decision via a document circulated to all employees
Prise de décision par consensus donc.
Ah et puis tiens, vu que je viens de le trouver, un petit article sur la question des problèmes entre Français et Japonais dans la gestion d'affaires ( et qui parle en plus de Renault et Nissan) pour ceux que ça interessent.
ici
Ceux qui ont de l'expérience dans le domaine sont invités à laisser leurs commentaires.
Merci! https://www.lesechos.fr/industrie-se...ie-2209903.php
M
Re : Patrons occidentaux au Japon
Re : Patrons occidentaux au Japon
Interview de GHosn en français,datée du 07 novembre 2020
https://www.youtube.com/watch?v=LLMoVRTT9Cc
Re : Patrons occidentaux au Japon
On peut ajouter à la liste des patrons Français au Japon le nom de Serge Grebert, président de Buebell Japan. Cette société est la première importatrice de parfums et de cosmétiques dans l’archipel. Elle distribue de nombreuses marques dans d’autres domaines dont les chaussures Jimmy Choo et les cigares Davidoff. L’atelier des parfums est également une création de cette entreprise dont le patron est un ancien de HEC.
Re : Patrons occidentaux au Japon
Pas étranger, certes, mais juste une information automobile. Toyoda Akio, Président de longue date du groupe Toyota, numéro un mondial du secteur, cède finalement sa place. Sato Koji, qui dirigeait jusqu’à présent la filiale premium Lexus, prend les rênes du groupe. Comme de tradition au Japon, le sortant conserve un pouvoir certain quant aux décisions stratégiques à venir. Pas d’émule de Carlos Goshn donc chez Toyota qui ne veut certainement pas d’un étranger à sa tête.