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Afficher la version complète : Travailler au Japon - Universitaires français et universités japonaises



Deeedo
16/05/2007, 14h29
Bonjour !
J'aimerais avoir des informations concernant les perspectives d'avenir (ou les non-perspectives) des diplômés français de deuxième cycle: maîtrise, DEA au niveau des universités japonaises.
Y a t'il une demande de diplômés français pour y enseigner ?
Et plus particulièrement dans le domaine de l'histoire ?
En vous remerciant. :roll:

Elvis
16/05/2007, 14h47
Un de nos professeurs de Lyon3 nous disait qu'à son époque, dans le centre de recherche où il bossait, ion demandait un daigaku-in pour les japonais et la thèse pour les gaijins... à poste équivalent, bien entendu.
Alors, je ne pense pas que ça soit allé en s'arrangeant...

Bon courage quand même!

teddykun
17/05/2007, 06h34
Salut a toi,

La question qu'il faut que tu te poses c'est pourquoi ils engageraient un etranger plutot qu'un japonais.

A vrai dire, il faut que tu sois fluent en japonais pour pouvoir enseigner au Japon dans un domaine specialise comme l'histoire. Les cours seront en japonais totalement...

Je ne connais pas ton niveau en japonais. Mais a mon avis, tu peux esperer au mieux enseigner le FLE ou la litterature dans une universite encore que les places sont tres cheres. Beaucoup de personnes attendent au portillon.

Guzabie
18/05/2007, 04h23
Avec un simple DEA pour l'Histoire ou la Litterature, absolument aucune chance.
Sans these, tu ne peux enseigner que le FLE, et il y a du monde au portillon.

keya
19/05/2007, 15h38
… et même pour enseigner le français à la fac, le diplôme FLE devient de plus en plus indispensable…

maruchan
19/05/2007, 16h32
Pour enseigner le français en fac, il faut surtout avoir des relations...

Elvis
19/05/2007, 16h37
... ou coucher? remarque ce sont des relations...

teddykun
20/05/2007, 07h28
A ce jour, je ne connais que Muriel Jolivet professeur francaise qui peut se targuer d'enseigner dans un domaine specialise... Mais ces cours sont en japonais.

Je m'etais renseigne sur la question. Il ne faut pas rever.