JM
08/03/2007, 14h40
Pour JM ta collection d'empreinte de main de sumo est elle courante au japon ? y a t'il des bourse d'echanges ou des marchés ?
En général, ce sont les gens qui s'intéressent au sumo qui collectionnent ce genre d'objets. Les échanges/ventes éventuels se font plus par le biais d'internet (sur ebay par exemple).
On trouve facilement les tegata dont JM parle.
Petite nuance quand même: on trouve facilement des tegata de lutteurs en activité puisqu'il suffit de se rendre au Kokugikan pour les acheter. En revanche, pour les lutteurs retraités, c'est bien plus difficile, et c'est souvent sur ebay qu'on peut les trouver, ou chez des bouquinistes spécialisés.
J'ai quelques tegata quasiment introuvables que j'ai dégotées chez un bouquiniste d'Osaka, par exemple.
Comme dans toutes les collections, l'objet ancien est plus difficile à trouver. Les reproductions à grandes échelles sont facilement trouvables et ont moins de valeur aux yeux des vrais collectionneurs.
Par exemple les estampes japonaises réalisées selon les mêmes méthodes qu'au 19ème siècle, n'ont absolument aucune valeur sur le marché de l'art. Elles n'ont que la valeur décorative qu'on peut éventuellement leur attribuer.
En général, ce sont les gens qui s'intéressent au sumo qui collectionnent ce genre d'objets. Les échanges/ventes éventuels se font plus par le biais d'internet (sur ebay par exemple).
On trouve facilement les tegata dont JM parle.
Petite nuance quand même: on trouve facilement des tegata de lutteurs en activité puisqu'il suffit de se rendre au Kokugikan pour les acheter. En revanche, pour les lutteurs retraités, c'est bien plus difficile, et c'est souvent sur ebay qu'on peut les trouver, ou chez des bouquinistes spécialisés.
J'ai quelques tegata quasiment introuvables que j'ai dégotées chez un bouquiniste d'Osaka, par exemple.
Comme dans toutes les collections, l'objet ancien est plus difficile à trouver. Les reproductions à grandes échelles sont facilement trouvables et ont moins de valeur aux yeux des vrais collectionneurs.
Par exemple les estampes japonaises réalisées selon les mêmes méthodes qu'au 19ème siècle, n'ont absolument aucune valeur sur le marché de l'art. Elles n'ont que la valeur décorative qu'on peut éventuellement leur attribuer.