Catinus
23/11/2004, 21h32
Romain Slocombe est né à Paris en 1953. Il est romancier, peintre, illustrateur, Xérox-artiste. Il découvre le Japon en 1977.
Il a déjà publié plusieurs livres qui a pour toile de fond absolue le Japon. Dont une tétralogie entamée avec :
" Un été japonais "
" Brune de printemps "
" Averses d'automne "
dans " Série noire " chez Gallimard.
Egalement " Carnet du Japon " aux éditions PUF, 120 pages, 20 €
On peut qualifier ses romans de " polars - mauvais genre ".
Romain Slocombe aime le Japon. Il l'aime tellement qu'il l'écrit, le décrit, le dessine, le filme et l'épouse.
Slocombe a tout de même une relation ambigüe avec le Japon, des parts d'ombre.
Extrait d'interview :
" J'ai une empathie complète vis-à-vis de ce pays. Il y a des choses qu'on peut détester là-bas : le côté commercial, enfantin, fast-food, un pays très à droite, inféodé aux Américains,...
Je veux montrer les Japonais en tant qu'artiste-underground. Il y a là-bas une dualité qui existe depuis très longtemps, mêlant le côté extrêmement aristocratique, élitiste avec un côté populaire, festif. C'est ancré dans l'âme japonaise, il n'y a en fait aucune contradiction mais il faut connaître. (...) "
Je me permettrai de vous proposer une petite critique de " Un été japonais " que j'ai adoré ...
Il a déjà publié plusieurs livres qui a pour toile de fond absolue le Japon. Dont une tétralogie entamée avec :
" Un été japonais "
" Brune de printemps "
" Averses d'automne "
dans " Série noire " chez Gallimard.
Egalement " Carnet du Japon " aux éditions PUF, 120 pages, 20 €
On peut qualifier ses romans de " polars - mauvais genre ".
Romain Slocombe aime le Japon. Il l'aime tellement qu'il l'écrit, le décrit, le dessine, le filme et l'épouse.
Slocombe a tout de même une relation ambigüe avec le Japon, des parts d'ombre.
Extrait d'interview :
" J'ai une empathie complète vis-à-vis de ce pays. Il y a des choses qu'on peut détester là-bas : le côté commercial, enfantin, fast-food, un pays très à droite, inféodé aux Américains,...
Je veux montrer les Japonais en tant qu'artiste-underground. Il y a là-bas une dualité qui existe depuis très longtemps, mêlant le côté extrêmement aristocratique, élitiste avec un côté populaire, festif. C'est ancré dans l'âme japonaise, il n'y a en fait aucune contradiction mais il faut connaître. (...) "
Je me permettrai de vous proposer une petite critique de " Un été japonais " que j'ai adoré ...