TB
09/05/2012, 16h19
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« De ses nombreuses mésaventures de Nippon perdu dans la capitale française, J.P. Nishi, de son vrai nom Taku Nishimura, a tiré une série de mangas dont le premier tome, A nous deux Paris, sort en français en mai aux éditions Philippe Picquier. A la fois auteur et anti-héros de ses bandes dessinées, J.P. Nishi, 39 ans, démonte les clichés sur Paris et brosse un portrait sans concession des Parisiens. « Tout est vrai dans ce que je raconte », affirme-t-il. [...]
J.P. Nishi se réjouit de l’engouement en France pour la culture populaire japonaise, bien qu'il n'en comprenne pas tous les ressorts. « Je suis allé à deux reprises à la grande manifestation Japan Expo, en 2010 et 2011. J’y ai rencontré de nombreux jeunes passionnés par les mangas, l'animation, les groupes de musique ou les jeux vidéo japonais, explique-t-il. Or, ce qui m'a frappé, c'est l'image idéale qu'ont ces Français du Japon, alors que la plupart n'ont jamais posé un pied dans l'archipel. Tout comme j'ai découvert une autre France que celle ancrée dans l'imaginaire collectif japonais en y vivant un an et y séjournant plusieurs semaines chaque année, je souhaite que ces adolescents et adultes viennent au Japon pour faire davantage la part des choses ». »
Lire Le Japonais qui "mangaïse" la France (http://blogs.afp.com/cross-culture/?post/2012/04/16/Le-Japonais-qui-mangaïse-la-France), par Karyn Poupée.
« De ses nombreuses mésaventures de Nippon perdu dans la capitale française, J.P. Nishi, de son vrai nom Taku Nishimura, a tiré une série de mangas dont le premier tome, A nous deux Paris, sort en français en mai aux éditions Philippe Picquier. A la fois auteur et anti-héros de ses bandes dessinées, J.P. Nishi, 39 ans, démonte les clichés sur Paris et brosse un portrait sans concession des Parisiens. « Tout est vrai dans ce que je raconte », affirme-t-il. [...]
J.P. Nishi se réjouit de l’engouement en France pour la culture populaire japonaise, bien qu'il n'en comprenne pas tous les ressorts. « Je suis allé à deux reprises à la grande manifestation Japan Expo, en 2010 et 2011. J’y ai rencontré de nombreux jeunes passionnés par les mangas, l'animation, les groupes de musique ou les jeux vidéo japonais, explique-t-il. Or, ce qui m'a frappé, c'est l'image idéale qu'ont ces Français du Japon, alors que la plupart n'ont jamais posé un pied dans l'archipel. Tout comme j'ai découvert une autre France que celle ancrée dans l'imaginaire collectif japonais en y vivant un an et y séjournant plusieurs semaines chaque année, je souhaite que ces adolescents et adultes viennent au Japon pour faire davantage la part des choses ». »
Lire Le Japonais qui "mangaïse" la France (http://blogs.afp.com/cross-culture/?post/2012/04/16/Le-Japonais-qui-mangaïse-la-France), par Karyn Poupée.