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Afficher la version complète : Dorama Les dorama de l'insouciance (années 80)



christian
09/03/2011, 21h15
Je vous propose ici de parler des doramas que vous appréciez d'une certaine époque : les années 80. Un peu plus large que les doramas de la bulle, ils ont en commun une certaine insouciance (uniquement des thèmes légers) et une ambiance visuelle et musicale certaine (regardez de nouveau un clip du top 50 et les petits clous comprendront.... Les djeunes peut-être pas).

J'ouvre le bal avec half potato no oretachi (1985): de jeunes lycéens et étudiants découvrent le monde du travail avec un petit job dans un fast food, les révoltes adolescentes et l'amour... toujours. Avec une bande annonce d'un groupe "rebecca" qui fait un peu penser à cindy loper à ses débuts avec un clavier électronique en fond sonore.

Edit : Ah, les couleurs du fast-food toujours propre, sans aucune graisse sur les comptoirs...

Note = :D:D:D:D (sur 5)

TB
12/03/2011, 22h42
Ça pique ma curiosité. Soit je m'en régalerai soit je trouverai cela insupportable de candeur.

christian
12/03/2011, 23h19
Ça pique ma curiosité. Soit je m'en régalerai soit je trouverai cela insupportable de candeur.

C'est le principe de l'insouciance dramatique : selon les goûts et les couleurs et si c'est bien fait la balance devrait pencher vers l'appétit visuel. Dans le cas contraire, une indigestion de candeur, comme un abus de bonbons aux couleurs des années 80'...

christian
19/03/2011, 21h22
Pour s'évader un peu de l'actualité : voici "papa ha newscaster" (papa est présentateur TV) (1987).

Kagami Yutaro [joué par Tamura Masakazu, futur Furuhata Ninzaboro - le colombo japonais-] est un talentueux présentateur des nouvelles à la TV. Il fréquente sa compagne de JT et a une vie de célibataire qui lui plait.

Son seul problème est qu'il a l'habitude de promettre le mariage quand il a trop bu et de se trouver... dans de beaux draps... :) Les conséquences de ses actes se rappellent à lui sous la forme de trois jeunes filles de 8 à 10 ans qui débarquent chez lui et l'appellent papa. Le Dorama commence :cool:...

La fiction, très amusante, rappelle furieusement certaines séries américaines diffusées pendant notre enfance pour la situation de base : un célibataire se retrouve avec des enfants dont il aura la charge (Arnold et willy, Punky brewster, cher oncle bill...). Que du bonheur...

Un ingrédient des doramas de l'insouciance : la musique de générique interprétée par une idole de l'époque (plus sages que celles d'aujourd'hui). Ici One Way Generation chanté par Honda Minako.


Note = :grin::grin::grin::grin: (sur 5)