Catinus
23/10/2009, 16h23
Durant la seconde guerre mondiale, au Japon, des enfants d’une maison de correction sont enfermés dans un village. Une épidémie surgit et les villageois s’enfuient. Seuls, ces gosses tentent de s’organiser.
Une prédilection que l’auteur semble porter pour les exclus, tel son autre roman plus connu : « Gibier d’élevage « . L’écriture y est limpide, agréable. Pas moralisme non plus : ces enfants ne sont pas des anges et se jouent également des coups bas bien que l’on compatira tout de même avec le jeune narrateur. Si parabole il y a, que peut-on en déduire ? Que tout le monde défend ses plates-bandes, avec égoïsme et lâcheté s’il le faut. Ne sommes-nous pas dans la même barque, mais sauve qui peut… Et puis chacun son statut après tout …
Une prédilection que l’auteur semble porter pour les exclus, tel son autre roman plus connu : « Gibier d’élevage « . L’écriture y est limpide, agréable. Pas moralisme non plus : ces enfants ne sont pas des anges et se jouent également des coups bas bien que l’on compatira tout de même avec le jeune narrateur. Si parabole il y a, que peut-on en déduire ? Que tout le monde défend ses plates-bandes, avec égoïsme et lâcheté s’il le faut. Ne sommes-nous pas dans la même barque, mais sauve qui peut… Et puis chacun son statut après tout …