skydiver
17/10/2009, 23h13
Sortie le 26/10, au Japon, de "Shizumanu taiyô".
Ce film de Wakamatsu Setsuro mélange réalité et fiction. Il décrit le parcours d'un agent de JAL, mal noté par supérieurs pour "cause de syndicalisme", après des mutations placards (l'Iran et le Kenya). Son retour au Japon coincide avec une catastrophe aérienne de sa compagnie dans l'archipel (fait réel).
Il est alors chargé de négocier avec les familles des passagers disparus le montant des compensations financières et autres indemnités. Cette tâche technique et ingrate, confiée en mesure de rétorsion, l'amène à réfléchir sur le sort des victimes et le deuil des familles. Toute l'horreur de la chose lui apparaît progressivement et ses sentiments remontent à la surface alors que sa compagnie ne voit un lui qu'un exécutant du "sale boulot", devant agir comme une machine. Révolte, colère, sentiment d'injustice, empathie et redéfinition de la notion d'humanité jalonneront son parcours.
Je ne sais pas si le film est bon mais les acteurs, eux, sont reconnus à juste titre.
Le rôle principal revient à Watanabe Ken ("Last Samurai", "Batman begins" et une pléthore de productions locales).
A ses côtés on retrouve Miura Tomokazu et, surtout, Ichizaka Kôji, l'excellent détective Kindaichi de la série de films éponymes.
Toutes mes excuses si j'ai commis des erreurs de traduction du japonais au français.
Ce film de Wakamatsu Setsuro mélange réalité et fiction. Il décrit le parcours d'un agent de JAL, mal noté par supérieurs pour "cause de syndicalisme", après des mutations placards (l'Iran et le Kenya). Son retour au Japon coincide avec une catastrophe aérienne de sa compagnie dans l'archipel (fait réel).
Il est alors chargé de négocier avec les familles des passagers disparus le montant des compensations financières et autres indemnités. Cette tâche technique et ingrate, confiée en mesure de rétorsion, l'amène à réfléchir sur le sort des victimes et le deuil des familles. Toute l'horreur de la chose lui apparaît progressivement et ses sentiments remontent à la surface alors que sa compagnie ne voit un lui qu'un exécutant du "sale boulot", devant agir comme une machine. Révolte, colère, sentiment d'injustice, empathie et redéfinition de la notion d'humanité jalonneront son parcours.
Je ne sais pas si le film est bon mais les acteurs, eux, sont reconnus à juste titre.
Le rôle principal revient à Watanabe Ken ("Last Samurai", "Batman begins" et une pléthore de productions locales).
A ses côtés on retrouve Miura Tomokazu et, surtout, Ichizaka Kôji, l'excellent détective Kindaichi de la série de films éponymes.
Toutes mes excuses si j'ai commis des erreurs de traduction du japonais au français.